sexta-feira, 12 de fevereiro de 2016

« L’acte d’abandon » Don Dolindo Ruotolo, prêtre (contre les angoisses)


Ce site complémentaire diffuse  exceptionnellement des prières particulières.

Visitez aussi   http://maranathajesus.net/

« Don Dolindo Ruotolo, prêtre napolitain qui vécu et mourut en odeur de sainteté,
a écrit ce Précepte sur l’abandon à Dieu, qui lui fut inspiré par Jésus.
« Pourquoi te confondre en t’agitant ? Laisse que je m’occupe de tout et tout s’apaisera. En vérité je te le dis, tout acte d’abandon à moi, véritable et absolu, produit l’effet que tu attends et résout les situations difficiles. S’abandonner à moi ne signifie pas se tourmenter, s’inquiéter et se désespérer en m’adressant ensuite une prière. S’abandonner signifie fermer les yeux de l’âme, écarter la pensée des tribulations et s’en remettre à moi pour que moi seul, je te fasse trouver l’autre rive, comme les enfants endormis dans les bras maternels.
Ce qui te bouleverse et te meurtri, c’est ton raisonnement, tes pensées, ton observation : vouloir remédier toi-même à ce qui t’afflige.
BENEDISTIONS
Que de choses je fais lorsque l’âme, dans ses nécessités aussi bien spirituelles que matérielles, se tourne vers moi, me regarde, ferme les yeux et se repose en me disant : »Pense y toi !: »
* Tu obtiens peu de grâce lorsque tu te tourmentes à les produire ; tu en obtiens beaucoup lorsque tu t’en remets à moi par la prière.Dans la douleur, tu pries afin que j’ôte ta douleur, mais pour que je l’ôte comme tu le souhaites…
Tu te tourne vers moi, mais tu veux que je m’adapte à tes désirs; tu n’es pas de ces malades qui demandent au médecin un remède, c’est toi qui le lui suggères.
* Ne fais ainsi, mais prie comme je te l’ai enseigné dans le Pater :<<Que ton nom soit sanctifié :>> (c’est-à-dire qu’il soit glorifié dans ta requête) : »Que ton règne vienne : » (c’est-à-dire que tout concoure à ton règne, en nous dans ce monde)« Que ta volonté soit faite : » (ce qui est l’équivalant de : »Pense-y toi : »).
J’interviens avec toute ma puissance et je résous les situations les plus fermées. Le malheur s’acharne contre toi au lieu de disparaître, Ne t’agite pas, ferme les yeux et dis-moi en toute confiance : »Que ta volonté soit faite, pense-y toi : » Je te dis que j’y pense en intervenant comme médecin et, lorsque cela est nécessaire, j’accomplis aussi un miracle. Tu t’aperçois que le mal s’aggrave ? Ne t’inquiète pas, mais ferme les yeux et dis : »Pense-y toi : ». Je te réponds que j’y pense.

* La préoccupation, l’agitation et le souci des conséquences sont contraires à l’abandon. On peut les comparer à la confusion que font les enfants, lorsqu’ils prétendent que leur mère subvienne à leurs besoins, mais veulent y pourvoir eux-mêmes, entravant ainsi son rôle avec leurs idées et leurs caprices enfantins.
* Ferme les yeux et laisse-toi porter par le courant de ma grâce. Ferme tes yeux et laisse-moi faire, sans penser à l’instant présent.Ecarte tes pensées du future, comme d’une tentation. Repose-toi sur moi en croyant en ma bonté et je te jure sur mon amour, qu’en me disant ces paroles : »Pense-y toi : » j’y penserai, je te consolerai, je te libèrerai, je te guiderai.
* Et lorsque je te conduirai sur un autre chemin que celui que tu envisages de prendre, je te soutiendrai en te portant dans mes bras, car aucun remède n’est plus puissant que mon amour. Je n’y pense que lorsque tu fermes les yeux. Mais tu es « insomniaque », tu veux tout évaluer, tout scruter, penser à tout; ainsi tu t’abandonnes aux forces humaines ou, ce qui est pire, aux hommes, en te fiant à leurs inventions. Voilà ce qui entrave mes paroles et mes projets. Oh ! combien je désire ton abandon pour te venir en aide et combien je m’afflige de te voir agité!
* Voilà ce que cherche Satan : t’agiter pour te soustraire à mon action et te jeter en proie aux décisions humaines. Remets-toi donc à moi seul, repose-toi sur moi, abandonne-toi à moi en tout. Je fais des miracles en proportion de l’abandon total à moi et de l’absence de confiance en toi : Je dispense des trésors de grâces lorsque tu te trouves dans le plus grand dénuement.
* Si tu as des ressources ou si tu les cherches, tu suis le parcours naturel des choses, qui est souvent entravé par Satan. Aucun raisonneur ou modérateur, n’a fait de miracles, parmi les saints.
* Seul celui qui s’abandonne à Dieu agit divinement. Lorsque tu vois que les choses se compliquent, dis en fermant les yeux de l’âme: « Jésus, pense-y-toi : ». Et distrais-toi, car ton esprit est clairvoyant…pour toi, il t’est difficile de voir le mal. Remets-toi, souvent à moi en te distrayant de toi-même. Fais ainsi pour toute nécessité. Fait ainsi et tu verras de grands, continuels et silencieux miracles. Et je te le jure par mon amour. Moi j’y penserai, sois-en assuré.
* Prie toujours avec cette disposition d’abandon et tu obtiendras paix et satisfaction, même lorsque je te ferai grâce de l’immolation de réparation et d’amour qu’impose la souffrance. Cela te parait-il impossible ? Ferme les yeux et dis, du fondde l’âme : »Jésus pense-y toi : » Ne crains rien, j’y penserai, et tu béniras mon nom en t’humiliant. Tes prière ne valent pas un pacte d’abandon confiant; souviens-t-en. Il n’y a pas de neuvaine plus efficace que celle-ci :
« Ô Jésus, je m’abandonne à toi, pense-y toi »
« Abandonne-toi à mon cœur … et tu verras : »
* Je veux que tu crois en mon omnipotence et non à ton action : que tu cherche à me faire agir et non pas toi à travers les autres.
 * Recherche mon amitié, exauce mon désire de t’avoir, de t’enrichir, de t’aimer comme je le veux. Laisse-toi aller, laisse-moi reposer en toi, laisse-moi exercer constamment sur toi mon omnipotence. 
Si tu restes près de moi et si tu ne te préoccupe pas d’agir pour ton compte, de courir pour sortir, de dire d’avoir agi, tu me prouveras que tu crois en mon omnipotence et j’opèrerai intensément en toi, lorsque tu parleras, iras, travailleras, prieras, ou dormiras car « je donne tout à mes bien-aimés pendant leur sommeil »(psaume 126).
 Si tu restes avec moi sans vouloir courir, si tu ne te préoccupes pas de tes besoins mais me les confies entièrement, je te donnerai tout ce dont tu as besoin selon mon dessein éternel. Je te transmettrai les sentiments que je veux de toi, une grande compassion envers ton prochain et je te ferai dire et faire ce que je voudrai. Alors ton action sera le nouveaux qui naîtrons de moi.
J’en ferai d’autant plus que tu auras voulu être un véritable fils comme le Fils Unique, car tu sais que « si tu fais ma volonté, tu seras : mon frère, ma soeur et ma mère » pour me faire croître dans les autres, car Je créerai de nouveaux fils, en me servant des véritables fils . Ce que tu feras pour réussir n’est rien à côté de ce que je fais dans le secret des cœurs de ceux qui aiment.
 « Demeure en mon amour…si tu demeures en moi et si mes paroles demeurent en toi, demande ce que tu veux et cela te sera accordé » (Jean 15)

NO HAY NOVENA MÁS EFICAZ QUE UN ACTO DE ABANDONO Y CONFIANZA EN JESÚS

Las verdaderas soluciones las conoce Dios, no el hombre. Confía en Cristo


¡Oh Jesús, me abandono en Ti, ocúpate Tú de ello!

Jesús dice a tu alma:

¿Por qué os confundís agitándoos? Dejad a mí la cura de vuestros asuntos y todo se calmará. En verdad os digo que cada acto de verdadero, ciego y completo abandono en mí, produce el efecto que deseáis y resuelve las situaciones más espinosas.

Abandonarse a mí no significa atormentarse, romperse la cabeza y desesperarse, para luego dirigirme una oración llena de inquietud para que yo os ayude, y cambiar así la agitación en oración. Abandonarse significa cerrar plácidamente los ojos del alma, transferir el pensamiento de la tribulación, y confiarse a mí para que sólo yo opere, diciéndome: "ocúpate Tú de ello". La preocupación, la agitación y el querer pensar en las consecuencias de un hecho son cosas contrarias al abandono.

Es como la confusión que traen los niños que pretenden que la mamá piense en sus necesidades, y quieren pensarlas ellos, obstaculizando con sus ideas y sus fijaciones infantiles, su trabajo.

Cerrad los ojos y dejaos llevar por la corriente de mi gracia, cerrad los ojos y apartando del futuro el pensamiento como si fuera una tentación, no penséis más que en el momento presente; reposad en mí creyendo en mi bondad, y os juro por mi amor que si me decís con estas disposiciones: "ocúpate Tú de ello", yo así lo haré por entero, os consolaré, os liberaré, os guiaré.

Y cuando deba llevaros por una vía diferente de aquella que veis vosotros, yo os adiestraré, os llevaré en mis brazos haciéndoos hallar -como si fueseis niños adormecidos en los brazos maternos- la otra orilla. Lo que os trastorna y os hace daño inmenso es vuestro razonamiento, vuestro pensamiento, vuestras preocupaciones, y el querer a toda costa ser vosotros quien remediéis aquello que os aflige.

¡Cuántas cosas yo obro cuando el alma, tanto en sus necesidades espirituales como en aquellas materiales, se vuelve a mí, me mira, cierra sus ojos y me dice: "ocúpate Tú de ello" y luego reposa. Obtenéis pocas gracias cuando os atormentáis por producirlas, pero tenéis muchísimas cuando vuestra oración es abandono pleno a mí. Vosotros en el dolor oráis para que yo realice, pero para que yo realice como vosotros creéis...No os dirigís a mí, sino queréis que yo me adapte a vuestras ideas; no sois enfermos que piden al médico la atención, sino que se la sugieren. No hagáis así, sino orad como os he enseñado en el Padrenuestro:

"Santificado sea tu nombre", esto es, sed glorificado en esta necesidad mía.

"Venga a nosotros tu reino", esto es, que todo contribuya a tu reinado en nosotros y en el mundo.

"Hágase tu voluntad así en la tierra, como en el cielo", esto es, dispón Tú en esta necesidad como mejor te parezca para nuestra vida eterna y temporal.

Si me decís de veras: "hágase tu voluntad", que es lo mismo que decir: "ocúpate Tú de ello", yo intervengo con toda mi omnipotencia y resolveré las mayores dificultades. Mira, ¿Tú ves que la enfermedad aumenta en vez de decaer?, no te agites, cierra los ojos y dime con confianza: "Hágase tu voluntad, ocúpate Tú de ello". Te digo que yo así lo haré, que intervendré como médico, y que hasta obraré un milagro cuando fuere menester. ¿Tú ves que el enfermo empeora?. No te trastornes, sino cierra los ojos y di: "ocúpate Tú de ello". Te digo que así lo haré, y que no hay medicina más potente que una intervención mía de amor. Me ocuparé de ello sólo cuando cerréis los ojos.

Vosotros no dormís nunca, vosotros queréis evaluar todo, escudriñar todo, pensar en todo, y os abandonáis así a las fuerzas humanas, o peor aún, a los hombres, confiando en su intervención. Es esto lo que obstaculiza a mis palabras y mis cálculos. ¡Oh, como yo deseo de vosotros este abandono para beneficiaros! ¡Y cómo me entristezco al veros agitados!. Satanás tiende precisamente a esto: a agitaros para sustraeros de mi acción y haceros presa de las iniciativas humanas.

Confiad por eso sólo en mí, reposad en mí, abandonaos a mí en todo. Yo hago milagros en proporción al pleno abandono en mí, y a la ausencia de preocupaciones del pensamiento vuestro; ¡yo derramo tesoros de gracia cuando vosotros estáis en la plena pobreza! Si apreciáis vuestros recursos por poco que sea, o si los buscáis, estáis en el campo natural y seguís por lo tanto el recorrido natural de las cosas, que es a menudo obstaculizado por Satanás. Ningún razonador o ponderador ha hecho milagros por sí mismo, ni siquiera entre los Santos; opera divinamente quien se abandona a Dios.

Cuando veas que las cosas se complican, di con los ojos del alma cerrados: "Jesús, ocúpate Tú de ello". Y apártate de ti mismo porque tu mente es aguda... y para ti es difícil ver el mal y tener confianza en mí distrayéndote en ti. Haz así para todas tus necesidades, obrad así todos, y veréis grandes, continuos y silenciosos milagros. Os lo juro por mi amor. Y yo me ocuparé de ello, os lo aseguro.

Orad siempre con esta disposición de abandono y tendréis gran paz y gran fruto, incluso cuando yo os concedo la gracia de la inmolación de reparación y de amor, que comporta el sufrimiento.

¿Te parece imposible?. Cierra los ojos y di con toda el alma: "Jesús, ocúpate Tú de ello". No temas, me ocuparé de ello y bendecirás mi nombre humillándote. Mil oraciones no valen lo que un solo acto de abandono: recuérdalo bien. No hay novena más eficaz que ésta:

¡Oh Jesús, me abandono en Ti, ocúpate Tú de ello!

El autor de este escrito es el Siervo de Dios don Dolindo Ruotolo (Nápoles, Italia, 06 de octubre 1882 - Nápoles, 19 de noviembre 1970), sacerdote terciario franciscano, al que el Padre Pío tenía una gran admiración.

DON DOLINDO RUOTOLO: Un sacerdote santo, alma víctima y amanuense del Espíritu Santo

ADELANTE LA FE


dolindo

María Teresa Moretti
Escrito por María Teresa Moretti
A los numerosos napolitanos que iban a San Giovanni Rotondo para hablar y confesarse con San Pío de Pietrelcina, él les decía: “¿Por qué venís aquí si en Nápoles tenéis al Padre Dolindo? Id a verle a él que es un santo.” Todo el mundo conoce al Padre Pío, sus estigmas y sus extraordinarias dotes místicas. Pero ¿quién era ese tal Padre Dolindo al que el capuchino de Pietrelcina reenviaba las almas, seguro de ponerlas en manos tan santas como las propias?LEER...

Vedi che la situazione peggiora? Non ti sconvolgere; chiudi gli occhi e dì: pensaci tu! Ti dico che io ci penso, e che non c’è medicina più potente di un mio intervento d’amore.

Don Dolindo Ruotolo

immagine tratta da cezmin.wz.sk
immagine tratta da cezmin.wz.sk
Dolindo Ruotolo nacque a Napoli il 6 ottobre 1882 da Raffaele Ruotolo, ingegnere e matematico, e da Silvia Valle, discendente della nobiltà napoletana e spagnola. La famiglia era numerosa e le entrate alquanto scarse, questo faceva sì che spesso nella sua casa si soffrisse la fame e mancassero persino vestiario e scarpe. Don Dolindo descriveva il padre come una persona molto rigida; Raffaele tra l’altro non mandò i figli a scuola, ma volle insegnargli egli stesso a leggere e scrivere, per cui la loro educazione fu molto sommaria.
Nel 1896, Dolindo e il fratello Elio vennero messi dai genitori nella Scuola Apostolica dei Preti della Missione. Nel 1899, Dolindo venne ammesso al noviziato. Il 1° giugno 1901, fece i voti religiosi e il 24 giugno 1905 venne ordinato sacerdote. Successivamente venne nominato maestro di canto gregoriano e professore dei chierici della Scuola Apostolica.
La vita da sacerdote Vincenziano fu intessuta da tanti episodi dolorosi. Dal 3 settembre 1907, fu vittima di una serie di errori e incomprensioni che lo portarono al giudizio dell’allora Sant’Uffizio. Venne sospeso dai sacramenti e fu sottoposto anche a perizia psichiatrica, dove risultò sano di mente. Ridatigli i sacramenti, fu inviato di nuovo a Napoli dove fu espulso dalla sua Comunità. Seguirono anni pieni di tormenti di ogni genere. Dovette accettare di essere esorcizzato e, considerato pazzo, fu oggetto di dolorosi attacchi da parte della stampa.
Nella sua solitudine cominciò ad avere delle comunicazioni soprannaturali, per cui scriveva quanto gli veniva rivelato, specie da santa Gemma Galgani. Il 22 dicembre 1909 Gesù gli parlò solennemente dall’Eucarestia. Durante la celebrazione eucaristica percepiva la presenza della Madonna, dei Santi e degli Angeli custodi degli astanti.
Si trasferì a Rossano in Calabria e da lì partì la richiesta di revisione, grazie anche all’aiuto di prelati amici, alcuni dei quali anche testimoni dei suoi doni soprannaturali. Nel 1910 venne finalmente riabilitato, dopo due anni e mezzo di sospensione, ma le sue tribolazioni non erano finite. Nel dicembre 1911, Don Dolindo venne nuovamente convocato dal Sant’Uffizio a Roma e nel 1921 subirà anche un processo, dove verrà condannato ed esiliato. Venne definitivamente riabilitato nel 1937.
Don DolindoPur fra continui dolori ed incomprensioni, la sua vita di sacerdote, ormai diocesano, proseguì a Napoli. Fu l’ideatore dell’ “Opera di Dio”, il cui scopo era principalmente quello di promuovere una rinnovata vita eucaristica. Intorno a lui si radunavano tanti giovani, tutti di cultura elevata, che in seguito formarono l’Opera “Apostolato Stampa”. L’Opera, attraverso la stampa degli scritti di Don Dolindo, riuscì a far conoscere ovunque il suo insegnamento.
Don Dolindo non amava le delicatezze del cibo e del vestiario, sopportava il freddo e la fame e fu visto camminare nella neve senza calzini ai piedi. Riceveva tutti, per tutti pregava, per tutti soffriva. Si avvicinava ai malati più infetti e li carezzava, li baciava e là dove il ribrezzo avrebbe in altri estinto la compassione in lui suscitava la pietà.
Padre Ruotolo fu uno scrittore estremamente prolifico, i suoi scritti più importanti vanno dal monumentale “Commento alla Sacra Scrittura”, in 33 volumi, alle tante opere di teologia, ascetica e mistica. Di lui ci sono rimasti interi volumi di epistolario, scritti autobiografici e di dottrina cristiana. Raccontò la sua vita in una poderosa “Autobiografia” oggi stampata in due volumi, con il titolo “Fui chiamato Dolindo, che significa dolore”.
Nel 1960 iniziava un altro calvario per padre Dolindo, un ictus gli immobilizzò il lato sinistro, ma non riuscì a fermarlo. Dal suo tavolino continuava a scrivere alle sue “Figlie spirituali”’ sparse un po’ dovunque.
Don Dolindo Ruotolo si spense il 19 novembre 1970 all’età di 88 anni a causa di una broncopolmonite. Poco prima della sua morte, nel generale raccoglimento attorno al suo letto di morte, si era diffuso nell’aria un profumo di gigli, sentito dai presenti e accolto come stigma ultimo della sua santità.
linea separatrice
.
L’ATTO DI ABBANDONO A GESU ‘ DI DON DOLINDO RUOTOLO

“Perché Vi confondete agitandovi?.

Lasciate a me la cura delle vostre cose e tutto si calmerà.
Vi dico, in verità, che ogni atto di vero, ricco e completo abbandono in me, produce l’effetto che desiderate e risolve le situazioni spinose.
Abbandonarsi a me non significa arrovellarsi, sconvolgersi e disperarsi, volgendo poi a me una preghiera agitata perché io segua voi.
E’ cambiare l’agitazione in preghiera. Abbandonarsi significa chiudere placidamente gli occhi dell’anima, stornare il pensiero dalla tribolazione e rimettersi a me perché io solo operi, dicendo: pensaci Tu. E’ contro l’abbandono la preoccupazione, l’agitazione e il volere pensare alle conseguenze di un fatto.
Gesu_11E’ come la confusione che portano i fanciulli, che pretendono che la mamma non pensi alle loro necessità, e vogliono pensarci essi stessi, intralciando con le loro idee e le loro fisime infantili il suo lavoro. 
Chiudete gli occhi e lasciatevi portare dalla corrente della mia grazia, chiudete gli occhi e lasciatemi lavorare, chiudete gli occhi e pensate al momento presente, stornando il pensiero dal futuro come da una tentazione; riposate in me credendo alla mia bontà e vi giuro che per il mio amore che, dicendomi, con queste disposizioni, pensaci tu, io ci penso in pieno, vi consolo, vi libero, vi conduco.
E quando debbo portarvi in una vita diversa da quella che vedete voi , io vi addestro, vi porto nelle mie braccia, vi faccio trovare, come bimbi addormentati nelle braccia materne, dall’altra riva. Quello che vi sconvolge e vi fa male immenso è il vostro ragionamento, il vostro pensiero, il vostro assillo ed il volere ad ogni costo provvedere voi a ciò che vi affligge.
Quante cose io opero quando l’anima, tanto nelle sue necessità spirituali quanto in quelle materiali, si volge a me dicendomi: pensaci tu!, e chiude gli occhi e riposa.
Avete poche grazie quando vi assillate per produrle, ne avete moltissime quando la preghiera è affidamento pieno a me. Voi, nel dolore, pregate perché io operi, ma perché io operi come credete….
Non vi rivolgete a me, ma volete che io mi adatti alle vostre idee, non siete infermi che domandano al medico la cura, ma gliela suggeriscono. Non fate così, ma pregate come vi ho insegnato nel Pater: sia santificato il tuo nome, cioè sii glorificato in questa mia necessità, venga il tuo regno, cioè tutto concorra al tuo regno in noi e nel mondo; sia fatta la tua volontà come in cielo così in terra, cioè disponi tu in questa necessità come meglio ti pare, per la vita nostra terrena e corporale.
gesu e la follaSe mi dite davvero: sia fatta la tua volontà, che è come dire: pensaci tu, io intervengo con tutta la mia onnipotenza e risolvo le situazioni più chiuse. Ti accorgi che il malanno incalza invece di decadere? Non ti agitare, chiudi gli occhi e dimmi con fiducia: sia fatta la tua volontà, pensaci tu! Ti dico che io ci penso e che intervengo come medico e compio anche un miracolo, quando occorre. 
Vedi che la situazione peggiora? Non ti sconvolgere; chiudi gli occhi e dì: pensaci tu! Ti dico che io ci penso, e che non c’è medicina più potente di un mio intervento d’amore.
Ci penso solo quando chiudete gli occhi.
Voi siete insonni, voi volete tutto valutare, tutto scrutare, a tutto pensare e vi abbandonate così alle forze umane e peggio agli uomini, confidando nel loro intervento. E’ questo che intralcia le mie parole e le mie vedute. Oh, come io desidero da voi questo abbandono per beneficiarvi e come mi addoloro nel vedervi agitati!
Satana tende proprio a questo: ad agitarvi per sottrarvi alla mia azione e gettarvi in preda alle iniziative umane; confidate perciò in me solo, riposate in me, abbandonatevi a me in tutto. Io faccio miracoli in proporzione del pieno abbandono a me, e del nessun pensiero di voi. Io spargo tesori di grazia quando voi siete nella piena povertà. Se avete vostre risorse, anche poche, o se le cercate, siete nel campo naturale e seguite quindi un percorso naturale delle cose che è spesso intralciato da satana.
Nessun ragionatore ha fatto miracoli, neppure tra i Santi. Opera divinamente chi si abbandona in Dio.
Quando vedi che le cose si complicano, dì con gli occhi dell’anima, chiusi: Gesù, pensaci tu! Fa così per tutte le tue necessità! 
Fate così tutti e vedrete grandi, continui e silenziosi miracoli! Ve lo giuro per il mio amore.
http://tanogabo.com/don-dolindo-ruotolo/

Scrive don Dolindo del suo incontro con Padre Pio avvenuto nel 1953: “Mi abbracciò, e benedicendomi mi disse: “Tutto il Paradiso è nell’anima tua. C’è stato sempre, c’è, e ci sarà per tutta l’eternità”


Dagli Scritti sul Paradiso di don Dolindo Ruotolo

– Dagli Scritti sul Paradiso del Servo di Dio Don Dolindo Ruotolo (1882-1970) –

“Un’altra cosa certissima nella gloria dell’eterna felicità è questa: nonostante la diversità della gloria delle singole anime, tutte però sono felicissime a seconda della loro capacità. Il piccolo che mangia un piatto piccolo o beve un piccolo bicchiere è ugualmente satollo e soddisfatto come lo è un adulto che mangia un piatto grande, proporzionato al suo appetito, o beve un bicchiere grande, proporzionato alla sua sete. Dieci, cento, mille bicchieri di diversa capacità, dal più piccolo al più grande, sono tutti ricolmi quando sono riempiti sino all’orlo.
In Cielo perciò non ci sono rammarichi, non ci sono invidie verso coloro che hanno una gloria più grande. È tutta un’armonia di piena felicità; è come un organo meraviglioso, dove le canne più piccole sono in perfetta armonia con quelle più grandi.
In Cielo non vi sono lacrime, non vi possono essere lamenti, non rammarichi, neppure pensando all’amore che si sarebbe potuto dare a Dio nella vita terrena; neppure riconoscendo di aver potuto meritare di più, sfruttando i dolori della vita. È Dio che armonizza e compie la felicità di ogni anima, e la sua amorosa Volontà si contenta del loro stato di meriti, e le satolla in pieno, armonizzando ognuna nei disegni del suo amore e della sua misericordia.
Noi diremmo nella nostra stoltezza che ogni anima ha il suo destino; ma il posto di un’anima non è un destino, e tanto meno lo è cieco ed implacabile, è invece il lavoro delicato dell’Infinito Amore che, seguendo con riverenza amorosa l’umana libertà, ricama mirabilmente sia coi fili di oro, sia con quelli di seta o di cotone, sia coi fili lunghi che con quelli corti e, sul canovaccio dei suoi disegni di amore, forma con tutti un ricamo mirabile, e glorifica nel ricamo ogni filo, ponendolo là, dove di tutti si forma un variopinto fiore di potenza, di sapienza e di amore, che brilla nell’Eterna Trinità”.


Scrive don Dolindo del suo incontro con Padre Pio avvenuto nel 1953:


“Mi abbracciò, e benedicendomi mi disse: “Tutto il Paradiso è nell’anima tua. C’è stato sempre, c’è, e ci sarà per tutta l’eternità”

Gesù al Cuore del Sacerdote

Gesù al Cuore del Sacerdote:

Seguono qui alcune elevazioni di Don Dolindo indirizzate in particolare ai sacerdoti e alla loro missione.

Gocce di balsamo e faville d'Amore


Sei, come me, pastore delle mie pecorelle e devi condurle ai pascoli soprannaturali. Se mostri in te le miserie del mondo, tu cammini nel pietrame della terra, dove crescono solo le spine. Ogni atto mondano, o fatto a modo umano, è un ceppo di spine che non nutrisce ma punge, che non allieta ma insanguina.
Vivi di me, figlio mio, e farai vivere a tua volta di me. Amami con tutto il cuore, e mi farai amare. Come angelo, porta le anime nella via di Dio, e non attrarle come uno che indulga alla debolezza del mondo, o che la consideri come una facile attrattiva al bene. Lo so, non sempre tu vivi, anche nella tua vita religiosa in un mondo soprannaturale. Ma se c'è... fumo acre di boscaglia che brucia, tu va in alto, all'aperto dove c'è azzurro e col tuo esempio di vita santa, molto santa, smorza i sarmenti della miseria che ardono e soffocano.

Ogni atto della tua vita, figlio mio, deve essere un atto sacerdotale, in cui nulla deve mescolarsi della natura, nulla del mondo. Come sacerdote devi essere fulgente nei raggi della bontà di Dio, come brillante che splenda ai raggi del sole. Devi essere mansueto, dolce e calmo. Si mostri in te la bontà: e la misericordia di Dio.
L'anima tua si elevi sulle anime, nel santo ministero, colomba di pace e di purezza, tra i fiori della carità. Senti forte l'impeto della tua natura? Il tuo carattere è reciso e molte volte irruente? Volgi gli occhi a me che portai per te la Croce, senza lamentarmi, avendo l'estrema parola della mansuetudine: Padre, perdona loro, e del compatimento: non sanno quello che fanno.
Abbi grande pazienza e grande dolcezza nei tuoi modi per amor mio.LEGGE...

SAC. DOLINDO RUOTOLO RIFLESSIONI SUL SANTO ROSARIO DI MARIA

 SE TI DISTRAI... TU NON CONVERSI CON ME Maria all'anima: Quando reciti il Rosario stammi vicino col cuore, figlio mio. È l'ora della conversazione con Mamma tua. Se ti distrai, tu non conversi con me, ma con le creature che ti passano per la fantasia. Ogni Ave Maria è un fiore dell'anima tua, e se ti distrai lo sfrondi... e ne rimane solo lo stelo spinoso. I misteri sono il profumo del fiore, e se non li mediti hai un fiore selvatico: è colorato, ma non odora. Abbi grande amore nel recitare il Rosario, perché senza amore filiale, la rosa che mi offri è... artificiale, è di carta velina.LEGGE...